LE MONDE DE LA MUSIQUE

Dominique Cornil semble tout à fait convaincue par ces oeuvres. Tour à tour brillant ou méditatif, son jeu épouse les moindres contrastes d’une musique qu’elle aime et veut nous faire aimer. Fort bien secondée par l’Orchestre de la Radio Bulgare, elle nous propose un enregistrement qui devrait dérider les détracteurs de Franck Martin.
Michel DEBROCQ



LE SOIR - L’ACTUALITE DU DISQUE

J’ai écouté ce disque trois fois et ai découvert à chaque audition dans la musique encore si mal connue de Franck Martin de nouvelles et rares beautés.
Un grand merci à Dominique Cornil qui, au lieu de s’attaquer à l’un de ces chevaux de bataille fourbus qu’on n’en finit pas d’entendre, a eu le cran de nous révéler ces œuvres magnifiques et le talent brillant, plein de brio et de rigueur, mais aussi de fine intelligence, qui les rendent éloquentes.
J.M.



HET LAASTE NIEUWS

Op de platen draaier
Dominique Cornil en Frank Martin

Dominique Cornil koos het Tweede Pianoconcert gecreëerd in 1969 door Paul Badura Skoda. Wij hebben het nooit gehoord. Het is ook duizelig moeilijk zowel orkestraal als pianistiek. Het Bulgaars Nationaal Orkest onder leiding van Vassil Kazandjief staat Cornil ten antwoord. Het is een uiterst briljant samenspel, eerder in duovorm. Het boeit altijd.
Op de tweede zijde van de plaat speelt Dominique Cornil acht preludes voor piano-solo. Ook hier blijft men diep geboeid luisteren naar de pianistieke schoonheid, door Cornil, zeer levendig bezield. De vorm van de muziek en van de vertolking treft door een eigen, weliswaar abstracte schoonheid.
W.P.